La Plage du Château
Le château de Pornic bénéficiait sur son flanc ouest de l’escarpement d’une petite vallée fluviale alimentée par la Dette et la Cracaud. Ce site constituait un port disposant d’une bonne profondeur longtemps fréquenté par des bateaux de pêche.
Avec le développement urbain et touristique du début du XIXe siècle, les cours d’eaux sont canalisés ce qui permet de développement de la grève de la Sablière (actuelle plage du château). En 1831, une maison de bains s’implante au bas du château et propose, dans un but thérapeutique, des immersions en eau de mer réchauffée. Ce service fonctionne en complémentarité avec l’Etablissement des bains de mer de Pornic implanté sur la Terrasse à la même époque. Celui-ci est le premier lieu de villégiature touristique à destination d’une bourgeoisie découvrant les plaisirs des bains de mer, sur le modèle britannique.
La grève de la Sablière devient le lieu de baignade privilégié mais, pour des raisons de décence, elle sera vite réservée aux hommes (les femmes allant plutôt plage du Jardinet, en bas de la corniche de la Noëveillard, ou à celle de l’Anse aux Lapins à Gourmalon).
Avec le développement urbain et touristique du début du XIXe siècle, les cours d’eaux sont canalisés ce qui permet de développement de la grève de la Sablière (actuelle plage du château). En 1831, une maison de bains s’implante au bas du château et propose, dans un but thérapeutique, des immersions en eau de mer réchauffée. Ce service fonctionne en complémentarité avec l’Etablissement des bains de mer de Pornic implanté sur la Terrasse à la même époque. Celui-ci est le premier lieu de villégiature touristique à destination d’une bourgeoisie découvrant les plaisirs des bains de mer, sur le modèle britannique.
La grève de la Sablière devient le lieu de baignade privilégié mais, pour des raisons de décence, elle sera vite réservée aux hommes (les femmes allant plutôt plage du Jardinet, en bas de la corniche de la Noëveillard, ou à celle de l’Anse aux Lapins à Gourmalon).